Chronique
Match nul, balle au centre 
Il va falloir que l’on s’assoie et qu’on se parle. À un moment donné, nous aurons besoin de ne plus taire nos tares. Y compris pour des raisons de santé mentale de notre société !

Que l’on arrête de remettre à plus tard la discussion sur les sujets qui fâchent ou qui seraient susceptibles de fâcher. Que l’on cesse d’attendre, très patiemment, pendant les moments de crises, que celles-ci passent, sans avoir rien traité. Et rebelote, jusqu’à la prochaine crise. Un pays, plusieurs vitesses Économiquement, il n’y a pas besoin…
