Edito
«L’Âne juge» entre La Fontaine et Benkirane 
Ce genre de discours déstructuré peut porter atteinte aux intérêts suprêmes du pays. Mais Benkirane n’en a cure : tout est bon pour faire du buzz, acte désespéré d’un influenceur pour récupérer son capital popularité.

Flash-back sur scène politique : septembre 2013, le dimanche 22 précisément. Une image choquante avait fait le tour des médias classiques et des médias sociaux, à l’époque encore à leur balbutiement au Maroc. Des ânes marchent aux côtés de manifestants protestant contre «la vie chère», avec des slogans anti-Abdelilah Benkirane, alors chef de gouvernement. Les…
