Chronique
Petite théorie financière d’un Aïd sans mouton 
Au fond, cet Aïd sans moutons a permis au Maroc d’éviter bien des tensions. Les polémiques annuelles sur la spéculation, les moutons malades, les prix gonflés à la dernière minute ont été neutralisées.

Cette année, il n’y a pas eu d’Aïd. Pas de moutons alignés sur les trottoirs, pas de triporteurs débordant de fourrage, pas de discussions animées sur le prix du kilo… Le sacrifice a été suspendu pour cause de sécheresse et de nécessité de reconstitution du cheptel national. Mais derrière la déception spirituelle qu’ont pu ressentir…
