Edito
Des institutions, des hommes et des interprétations… 
Il s’agit là de nominations royales concertées fort probablement avec plusieurs de ses conseillers, et puis toute couleur politique ou affinité personnelle est gommée quand il s’agit de ce genre d’instances constitutionnelles.

Du sang neuf vient d’être injecté dans des institutions constitutionnelles des plus stratégiques. Le Roi Mohammed VI a procédé cette semaine à des nominations à la tête de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption (INPPLC), de l’institution du Médiateur du Royaume, ainsi qu’à la présidence du…
