SUIVEZ-NOUS

Chronique

Le patriotisme est-il devenu un «gros mot» ? Lve Premium

Il est un paradoxe qui ne cesse de me tourmenter depuis un certain temps : alors que le patriotisme revient en force dans le discours politique et la sphère intellectuelle sur toute l’étendue du monde occidental, notamment en Europe et aux États-Unis, prenant parfois des formes extrémistes frôlant le national-populisme, je constate que le même patriotisme devient un gros mot chez nous.

Publié le


Mis à jour le

Au sein de la blogosphère et parmi les élites culturelles, un patriote est vite traité de «3ayach», une espèce de mercenaire-flagorneur à la solde de je ne sais quel pouvoir. La course derrière le buzz permet, en effet, toutes les offenses contre les honnêtes gens, à commencer par les patriotes sincères. Aussi n’est-il nullement superflu…

La suite de cet article est réservée à nos abonnés.

Découvrir nos offres d’abonnement

Déjà abonné? Je me connecte