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Chronique

À bas la création ! Lve Premium

Mercredi 7 mai, au tribunal de Paris, a eu lieu la première audience du procès qu’intente Saâda Arbane contre Kamel Daoud, l’accusant de piller son récit de vie dans son roman «Houris». Une affaire dans laquelle il est, peut-être, plus question de politique que de littérature.

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Cette première audience est purement procédurale, elle sert aux avocats des parties de fixer avec le juge le calendrier des échanges de conclusions. Ce calendrier ne concerne que les échanges qui se font par écrit. Transition grossière (de ma part) pour dire que l’affaire concerne un texte écrit, celui du dernier roman de Kamel Daoud,…

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