Extraterrestre pour de vrai

Voilà le type de documentaire scientifique que l’on a rarement l’occasion de voir. Des scientifiques inventent deux planètes fictives et leur donnent pour noms Aurélia et Rhéos, qui sont en fait des projections de ce qui pourrait éventuellement exister quelque part dans l’univers. Dans la première planète, Aurélia, il n’y a pas de saison, pas de nuit ni de jour. La moitié de la planète est tout le temps éclairée alors que l’autre moitié sombre dans une obscurité permanente. Sur Rhéos, l’atmosphère est saturée d’oxygène. Des conditions qui vont engendrer un écosystème particulier. Des baleines volantes, des arbres de plusieurs centaines de mètres de haut, des «gloutosaures» équipés d’un troisième œil sur le sommet du crâne, des animaux en forme de coquelicots géants, des oiseaux voraces, sortes de guêpes grandes comme des rapaces. Des créatures qui ne sont pas le fruit de l’imagination des scientifiques, mais le résultat naturel des conditions de vie dans Aurélia et Rhéos. Le documentaire, comme vous pouvez l’imaginer, est entièrement réalisé en images de synthèse.

 
«Extraterrestre», dimanche 14 novembre à 23h10 sur France 5