Au Royaume
Un Maroc fort de sa monarchie
Partout dans le monde, à chaque fois que le Maroc est évoqué, on lui associe automatiquement le mot : stabilité politique.

C’est une qualité dont très peu de pays d’Afrique, et même ceux en voie de développement, peuvent se targuer. Or un pays stable attire l’investissement et le tourisme. Il peut aussi se focaliser sur le plus important, son développement et sa prospérité. Certes, le Roi est, depuis la Constitution de 2011, de moins en moins impliqué dans la gestion directe des affaires publiques, mais, ses directives, ses orientations et sa vision guident l’action du gouvernement et transcendent le temps politique et électoral. Les actions du Souverain revêtent une portée stratégique et dotent le pays d’un atout rare dans tout le continent : le cumul et la continuité. Les grandes infrastructures, la politique de l’eau, les énergies renouvelables, la mue de l’OCP, mais aussi les droits de l’Homme, l’émancipation de la femme, la démocratisation, la régionalisation… autant de projets, visions politiques et stratégies, dont certaines lancées au début du règne, qui font du Maroc ce qu’il est aujourd’hui. Et c’est un processus continu.
Le Royaume scrute, en effet, aujourd’hui d’autres horizons, tels que l’hydrogène vert, la voiture électrique, le Big data, le tout-digital, etc. En parallèle, il parachève sa souveraineté. Pas territoriale, celle-là est déjà un fait. Mais énergétique, sanitaire et alimentaire. C’est un défi que le Maroc a relevé. Tout cela ne saurait être possible sans la présence, l’implication et l’impulsion d’une monarchie agissante, clairvoyante et garante de la stabilité politique et de la stabilité tout court.
