Au Royaume
Gratuité de l’enseignement : Azziman précise
Le président du Conseil supérieur de l’éducation tient à mettre les points sur les i. D’abord, les frais d’inscription dans l’enseignement post-obligatoire pour les familles aisées ne constituent en aucun cas une contrepartie financière du coût de la scolarité.

Leur institution ne signifie pas non plus un abandon de la gratuité de l’enseignement. Enfin, les frais d’inscription ne sont qu’une forme de solidarité nationale pour assurer le bon fonctionnement et l’efficacité de l’école. Par contre, le CSEFRS a recommandé de considérer la dépense éducative comme un investissement public visant la mise à niveau du capital humain et le développement du pays.
