Carrière
L’Université Hassan II Casablanca lance un nouveau centre dédié à la formation
L’Université Hassan II Casablanca vient de créer le Leadership Center. Premier dans son genre à être implanté dans une université marocaine, le centre, dont le siège sera situé à la Bibliothèque universitaire Mohamed Sekkat, a pour objectif de bà¢tir une nouvelle plaque tournante des activités de formation en ligne et de développement du leadership des dirigeants de l’enseignement supérieur.

L’Université Hassan II Casablanca vient de créer le Leadership Center. Premier dans son genre à être implanté dans une université marocaine, le centre, dont le siège sera situé à la Bibliothèque universitaire Mohamed Sekkat, a pour objectif de bâtir une nouvelle plaque tournante des activités de formation en ligne et de développement du leadership des dirigeants de l’enseignement supérieur. Il contribuera, entre autres, à l’amélioration de la gestion de l’enseignement supérieur dans la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du nord) en convergence avec les caractéristiques de l’enseignement supérieur dans l’Union européenne, ce qui aura des retombées bénéfiques sur la gouvernance des différentes composantes de l’université. Pour rappel, cette initiative rentre dans le cadre du projet international Tempus IV «leadership in higher education management» financé par l’Union Européenne.
Objectif : renforcer la qualité de l’enseignement doctoral
Le projet qui a été créé dans les années 90 a pour objectif de renforcer la qualité de l’enseignement doctoral dans les pays bénéficiaires en encourageant les débats entre établissements universitaires et la mise en place de partenariats et d’échanges de bonnes pratiques dans ce domaine. Plusieurs sessions de formations de haut niveau sont développées pour les encadrants, les responsables administratifs et les futurs employeurs de docteurs. En contribuant à l’internationalisation des programmes doctoraux et en favorisant la dimension professionnalisante du doctorat, ce projet met en lumière l’intérêt qu’ont les acteurs économiques des pays maghrébins à insérer les jeunes chercheurs dans le tissu économique national.
