Carrière
Hub Africa se prépare à l’édition 2016
A peine l’édition 2015 achevée que les organisateurs du salon Hub Africa se préparent pour la prochaine édition, prévue les 7 et 8 avril 2016 à Casablanca.

Dans son ambition de s’ériger en force de proposition avec notamment le projet de loi sur le crowfunding et son programme «Pitch for Invest», HUB Africa a annoncé les contours de l’édition 2016. Tout d’abord, le comité d’organisation vient de nouer des partenariats stratégiques notamment avec la Caisse centrale de garantie (CCG), la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), la Bourse de Casablanca, l’Agence nationale pour la promotion de la PME (ANPME), Maroc Export, le Mouvement des entreprises de France (MEDEF), Afineety Crowdfunding Africa et bien d’autres.
Le comité d’organisation a également lancé le programme «Pitch for Invest» 2016 plus tôt que d’habitude pour permettre à un public plus large d’y participer. Il s’agit d’un programme offrant l’opportunité aux porteurs de projets de rencontrer et présenter leurs projets à des investisseurs potentiels et d’avoir un premier retour sous forme de feed-back écrit, reprenant les points forts/faibles du projet avec les recommandations du jury.
Trouver des partenaires ou suivre des formations, tout le monde y trouve son compte
Par ailleurs, les organisateurs ont procédé à l’évaluation de l’édition 2015 à travers un sondage. Il en ressort que 86% des visiteurs se disent satisfaits de leur visite au salon, 77% ont eu à effectuer plus d’une visite, 90% sont prêts à recommander le salon à une tierce personne et 94% ont l’intention de revenir à la prochaine édition. De même que pour 40% des sondés, le mobile d’y participer consiste d’abord à trouver des partenaires (clients, fournisseurs…) ou encore assister à des formations.
D’ailleurs, Zakaria Fahim, président du CJD International, note à cet égard que «HUB Africa s’impose d’ores et déjà en tant qu’incubateur de croissance et apporte des solutions concrètes et pérennes qui répondent aux enjeux socio-économiques de l’Afrique tels que l’absorption du chômage par l’auto-entrepreneuriat, la création de richesses, la densification de la coopération sud-sud (privé)….».
