Influences
Les couacs de l’organisation
Pelouse en piteux état dans certains stades, mauvaise organisation, difficulté pour les médias d’assurer la couverture des matches…, la CAN 2017 a livré ses premiers couacs.

Claude Leroy, sélectionneur du Togo, a été le premier à fustiger les organisateurs sur l’état de la pelouse du stade d’Oyem ainsi que les conditions d’accueil. Pour leur part, certains médias dénoncent le «manque totale de soutien de la part des organisateurs». A en croire les professionnels de l’information, les responsables sont introuvables et ils sont obligés de se débrouiller seuls pour assurer la couverture. Il faut dire aussi que l’opinion publique a été sceptique sur la tenue de cette manifestation footballistique au Gabon, quelques mois avant son démarrage à cause de la situation politique mais aussi en raison du retard des travaux de certains stades.
Rappelons que le comité d’organisation de la CAN Gabon 2017 (COCAN) a disqualifié le stade Omar Bongo de Libreville, censé accueillir le match d’ouverture et la finale de la compétition. En revanche
Au niveau sécuritaire, rien n’a été contesté pour le moment.
