Chronique
Les trois «Mohamed Berrada» ou le patriotisme organique
Le Maroc et sa sphère intellectuelle peuvent légitimement s’enorgueillir de leurs trois illustres «Mohamed Berrada».
Le professeur d’économie, homme d’État, philanthrope, diplomate et industriel a dû adjoindre le nom de son père, Ghali, au sien. Tout comme le fondateur de Sapress qui a fait de même avec son père Abderrahmane. À ces deux «Mohamed Berrada», ajoutons le romancier, critique et ancien président de l’Union des écrivains marocains. Ces trois hommes…