Il faut sauver le soldat Ghellab

Têtes d’affiche.

Il avait dû faire face, seul, à la fronde contre le Code de la route, en 2007, sans que ni l’Istiqlal ni la majorité gouvernementale ne viennent à son secours. Le 12 octobre dernier, il avait été trahi par les siens lorsque Abdeslam Lebbar, conseiller istiqlalien à la deuxième Chambre, s’en est pris à sa politique. Il a été encore une fois lâché dans la nuit du 12 au 13 décembre lors du vote du budget sectoriel du ministère de l’équipement et du transport. Aucun des 28 conseillers de la majorité -dont 8 de l’Istiqlal-, membres de la commission des infrastructures, n’était présent au vote. Le PAM s’en est donné à cœur joie en obtenant le rejet dudit budget.