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La DGAPR dément les allégations contenues dans le rapport d’Amnesty International

Les détenus cités dans ledit rapport bénéficient de tous les droits inscrits dans la réglementation régissant les établissements pénitentiaires, affirme la DGAPR.

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DGAPR

La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a démenti vendredi «les allégations infondées contenues dans le rapport d’Amnesty International (AI) au sujet d’un groupe de détenus».

Dans une mise au point, la Délégation indique que les détenus cités dans ledit rapport bénéficient de tous les droits inscrits dans la réglementation régissant les établissements pénitentiaires, tout comme d’ailleurs les autres détenus, à savoir le droit à la promenade, les études, les visites régulières et la communication avec le monde extérieur, outre les entrevues avec leurs avocats.

Ils disposent aussi à l’intérieur de leurs cellules d’une radio, d’un téléviseur avec accès aux chaînes de sport payantes et reçoivent également de leurs proches des livres, des magazines et des journaux, outre les publications (ouvrages, magazines et journaux) ainsi que les stylos et les feuilles de papier dont ils ont accès à leur demande auprès des établissements pénitentiaires où ils purgent leurs peines, ajoute-t-on de même source.