Au Royaume
El Ouafa, la fraude et les critiques
A peine les épreuves entamées, les copies de l’examen circulaient déjà sur Facebook.

A peine les épreuves entamées, les copies de l’examen circulaient déjà sur Facebook. Le ministre avait promis, arsenal juridique et règlementaire inédit à l’appui, que cette année sera celle du «zéro fraude». Cela n’a pas été le cas. Ce qui lui a attiré encore davantage de critiques, c’est la manière dont il s’y est pris pour endiguer ce fléau. Les activistes des droits de l’homme l’accusent de détention des élèves fraudeurs «sans aucune base juridique» ; les politiques, l’USFP entre autres, l’accusent de trop recourir à la répression alors que la solution pourrait être pédagogique.
